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La santé par la nature
7 juin 2021

Guérir naturellement de l'insuffisance rénale

Fonctions principales des reins

  • Filtrer le sang et produire l'urine pour éliminer les déchets du corps, empêchant ainsi l'accumulation de toxines dans le courant sanguin ;

  • Produire des hormones qui agissent sur d'autres fonctions du corps, comme la régulation de la pression artérielle et la production de globules rouges sanguins ;

  • Régir la concentration des éléments minéraux ou électrolytes (par ex. le sodium, le calcium et le potassium) et la quantité de liquide dans l'organisme.

Nos deux reins possèdent de minuscules usines de filtration, les néphrons ; chaque néphron comprend un glomérule (qui agit comme une sorte de passoire pour empêcher les éléments importants comme les globules rouges d’être éliminés) et un tubule (un petit tube par lequel passe le liquide).

Il est tout à fait possible de mener une vie active et en santé avec un seul rein – un rein intact peut faire le travail pour deux – mais il est essentiel de surveiller le rein restant pour y déceler tout signe d'anomalie.

Lorsqu'on arrive au stade où les reins ne peuvent plus fonctionner, les deux options permettant d'éliminer les déchets de la circulation sanguine sont la dialyse ou la greffe rénale.

L’insuffisance rénale : les types 

 

L’insuffisance rénale aiguë survient le plus souvent après une agression comme une baisse brutale et transitoire de la pression artérielle, lors d'une hémorragie, d'une infection générale (septicémie), d'une intoxication médicamenteuse ou encore en cas d’obstruction des voies urinaires par un calcul ou un adénome prostatique. Les reins mettent quelques jours à retrouver spontanément un fonctionnement normal après traitement. Pendant cette période, beaucoup recours à la dialyse qui permet au patient de survivre pendant le processus d'autoréparation rénale.

 


L’insuffisance rénale chronique ne régresse pas, par définition. Elle est induite par des pathologies (diabète, hypertension…) qui détruisent progressivement les différentes structures rénales. Il existe cinq stades de la maladie jusqu’au stade terminal auquel la capacité de filtration est inférieure à 15 % de la normale pour l’ensemble des reins. A ce stade beaucoup envisagent les techniques de remplacement de la fonction rénale : dialyse et transplantation.
 

 


Les symptômes de l'insuffisance rénale  

 

Une insuffisance rénale débutante est souvent asymptomatique, c'est-à-dire sans symptôme. C'est bien ce qui rend le diagnostic précoce parfois difficile.

Symptômes évidents :

  • Mictions plus fréquentes, surtout la nuit ;

  • Douleur à la miction et diminution du volume d’urine ;

  • Présence de sang dans l'urine (peu fréquente dans l'insuffisance rénale chronique) ;

  • Urine mousseuse, trouble ou de couleur foncée ;

 

Symptômes moins évidents : résultant directement de l'incapacité des reins à éliminer de l'organisme les déchets et l'excès de liquide :

  • Paupières bouffies, une enflure des mains et des pieds (symptôme appelé œdème) ;

  • Hypertension artérielle ;

  • Fatigue et faiblesse plus marquées ;

  • Essoufflement ;

  • Perte d’appétit ;

  • Nausée et des vomissements (un symptôme fréquent) ;

  • Soif ;

  • Goût désagréable dans la bouche ou une mauvaise haleine ;

  • Perte de poids ;

  • Démangeaison persistante et généralisée ;

  • Contractions involontaires des muscles et crampes ;

  • Peau de couleur brun-jaunâtre ou grise

  • Fragilité de la peau, des os et fonte musculaire

 

Les causes

Les plus courantes sont le diabète sucré (diabète de type 1 ou 2) et la pression artérielle élevée. La cause la plus répandue d'insuffisance rénale terminale dans le monde entier est la néphropathie. (Une maladie inflammatoire du rein).
Une des complications du diabète et de la pression artérielle élevée est l'apparition de lésions sur les petits vaisseaux sanguins du corps, y compris ceux qui se trouvent dans les reins ; il en résulte une insuffisance rénale chronique.

En général, les maladies qui causent les problèmes cardiovasculaires sont aussi des facteurs de risque pour les maladies rénales. L’âge avancé, l’hypertension artérielle, l’obésité, le diabète, le tabagisme et un faible taux de cholestérol HDL (" bon cholestérol ")1. D’autres facteurs de risque peuvent provoquer une insuffisance rénale chronique, dont les suivants :

  • Une pyélonéphrite (infection des reins) récidivante ;

  • La maladie polykystique des reins (présence de plusieurs kystes dans les reins) ;

  • Des affections auto-immunes, comme le lupus érythémateux aigu disséminé ;

  • Un durcissement des artères qui peut endommager les vaisseaux sanguins du rein ;

  • Une obstruction des voies urinaires et un reflux, attribuables aux infections et aux calculs fréquents ou à une anomalie anatomique congénitale ;

  • L'utilisation excessive de médicaments métabolisés par les reins.

  • Abus d’alcool, de drogues et de médicaments, y compris ceux vendus sans ordonnance, comme l’aspirine, l’acétaminophène ou l’ibuprofène.

 

 

Diagnostic

 

 

Concentration de la créatinine dans le sang et clairance de la créatine

 

La créatinine est un produit dérivé de la décomposition de la créatine, un constituant des muscles. Lorsque la fonction rénale est défaillante, la teneur en créatinine dans le sang augmente. Comparant la quantité de créatinine évacuée dans l’urine avec la concentration de créatinine dans le sang, la clairance de créatinine (aussi appelée clairance de créatinine) est fréquemment utilisée pour évaluer la fonction rénale. Les valeurs normales pour l’homme se situent entre 97 et 137 ml/min. et pour la femme, entre 88 et 128 ml/min.
Le meilleur moyen d’en faire un diagnostic précoce est de faire un dépistage systématique chez les personnes qui ont un ou plusieurs facteurs de risque de maladie rénale chronique, et en particulier le diabète et l’hypertension artérielle. Ce dépistage est particulièrement important pour retarder l'évolution de l'insuffisance rénale. Ce dépistage consiste en une prise de sang pour le dosage de la créatinine et une analyse des urines de 24 heures qui permettent de calculer la clairance de la créatinine, ainsi que de rechercher des protéines dans les urines. Normalement, la créatinine doit être éliminée par les reins dans les urines. Dès que son taux augmente anormalement dans le sang, cela signifie que la fonction rénale n'est plus suffisante. Son taux dans le sang ne doit pas dépasser 115 micromoles par litre, soit 7 à 13 mg. Le pourcentage d'élimination de la créatinine se détériore progressivement jusqu'à ce que le malade soit en insuffisance rénale. L’insuffisance rénale chronique est définie, indépendamment de sa cause, par la persistance au-delà de 3 mois de marqueurs d’atteinte rénale.
Le dysfonctionnement du rein est également évalué en mesurant la quantité de plasma sanguin filtré par minute par les reins. Cette analyse est appelée le « débit de filtration glomérulaire » (ou DFG). En pratique courante, le débit de filtration glomérulaire est estimé à l’aide d’une équation (appelée CKD-EPI) à partir du taux de créatinine dans le sang (créatininémie) dosé par méthode enzymatique. La 2èmedéfinition de l’insuffisance rénale est liée à la DFG et correspond à un débit de filtration glomérulaire (DFG) inférieur à 60ml/min/1,73m².
Parallèlement, on recherche dans les urines, la présence de marqueurs d’atteinte rénale comme l’albumine (« protéinurie »), des globules blancs (« leucocytes »), des globules rouges (« hématies »). Leur présence peut être révélée par des bandelettes ou mesurée, plus précisément, dans les urines au laboratoire.
Ces premiers éléments permettent d’estimer s’il s’agit d’une insuffisance rénale avancée et si elle est à risque de progression rapide (= présence d’une protéinurie) ce qui nécessitera un recours rapide au médecin spécialiste des reins, le « néphrologue ».
En dehors de cette situation, le diagnostic devra être confirmé, en répétant les tests dans les 3 mois qui suivent, de préférence dans le même laboratoire et complété par une échographie rénale.

 

Une fois le diagnostic posé, un bilan complet permet de rechercher la cause de la maladie rénale chronique et ses éventuelles répercussions sur l’organisme.
En cas d’insuffisance rénale aiguë liée à un obstacle mécanique, le diagnostic fait appel à différentes techniques d’imagerie médicale permettent de visualiser la dilatation des voies urinaires et, éventuellement, l’obstacle responsable : scanner et échographie des reins.

Les personnes souffrant d’une insuffisance rénale chronique peuvent rester en bonne santé apparente avec des reins fonctionnant de 10 à 20 % de leur capacité normale. Ce n’est qu’à un stade très avancé que l’insuffisance rénale provoque les signes les plus gênants.
 

Selon la classification américaine, il existe 5 stades de la maladie rénale chronique en fonction du débit de filtration rénale (DFG) estimé par la formule MDRD :
 

• Stade 1 :
Maladie rénale chronique avec marqueurs d'atteinte rénale

DFG supérieur ou égal à 90 ml/min.

• Stade 2 :
Insuffisance rénale chronique minime

DFG entre 89 et 60 ml/min.

• Stade 3 :
Insuffisance rénale chronique modérée

DFG entre 59 et 30 ml/min.

• Stade 4 :
Insuffisance rénale chronique sévère

DFG entre 29 et 15 ml/min.

• Stade 5 :
Insuffisance rénale chronique terminale

DFG inférieur à 15 ml/min.

 

Autres anomalies

Les examens sanguins permettent également de détecter une anémie, fréquente chez les patients insuffisants rénaux. De même, il existe souvent des anomalies de l’équilibre calcium/phosphates ; le taux sanguin de phosphates est trop élevé et le taux de calcium trop bas ce qui peut entraîner des problèmes osseux. En cas d’insuffisance rénale avancée, le médecin doit aussi rechercher une teneur en potassium trop élevée dans le sang, susceptible d’entraîner des troubles du rythme cardiaque. Déterminer la concentration de lipides dans le sang est également essentiel. À un stade avancé d’insuffisance rénale, les taux de cholestérol et de triglycérides sont souvent augmentés, alors que le « bon » cholestérol(HDL-cholestérol) est généralement trop faible, avec pour conséquence une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires. Les examens sanguins doivent enfin chercher la présence d'un éventuel excès d’acide urique dans le sang, responsable de l’apparition de la goutte.

 

Traitements 

 

Dialyse : c’est un processus de filtration par lequel les déchets sont séparés des substances indispensables au fonctionnement de l'organisme. Ce processus de filtration a lieu à travers une cloison (membrane) partiellement perméable. Les déchets contenus dans le sang s'écoulent à travers la membrane dans le liquide de dialyse (de l'autre côté de la membrane). Ce liquide a une composition proche de celle du plasma sanguin. La membrane à travers laquelle se réalise la filtration est dite semi-perméable car elle laisse passer les petites molécules comme le sodium ou le potassium, mais retient les globules rouges et les protéines, par exemple. 

 

L'hémodialyse : elle consiste à envoyer le sang par un petit tuyau vers le rein artificiel, qui renferme les membranes de filtration et la solution de dialyse (ou dialysat). Le rein artificiel est notamment constitué d'un filtre, le dialyseur, qui contient une membrane séparant deux compartiments. Le premier contient le sang prélevé chez le patient, le second le liquide de dialyse. C'est à travers cette membrane que se réalisent les échanges entre le sang et le liquide de dialyse de manière à permettre de rééquilibrer la composition sanguine et éliminer les déchets comme la créatinine ou l'eau excédentaire. 

La dialyse péritonéale : Dans ce traitement, le sang n'est pas conduit à l'extérieur du corps car c'est le péritoine du patient lui-même qui fait office de membrane partiellement perméable. Le péritoine est une double membrane qui tapisse d'une part, la paroi de l'abdomen (ventre) et d'autre part, les organes abdominaux : intestin, estomac, foie, etc. Normalement, ces deux membranes sont collées et c'est dans l'espace infime entre elles qu'est amené, par un cathéter, le liquide de dialyse. Le péritoine, qui mesure environ 2 m2, est richement irrigué par de petits vaisseaux sanguins. Les échanges se réalisent donc entre le sang contenu dans les vaisseaux sanguins du péritoine et le liquide de dialyse qui a été introduit dans l'abdomen. 

 

Guérison naturelle avec Rénalyse

 

 

Rénalyse est un produit entièrement naturel fait à partir de certain composant comme l’Astragalus, le Ganoderma, le Tribulus, le Cordyceps sinensis, certains éléments composites de l’algue de Klamath et bien d'autres éléments naturels. Rénalyse favorise la libération des cellules souches adultes (hématopoïétiques et mésenchymateuses) et régénère les reins, rétablit les glomérules, purifie le sang des déchets métaboliques, favorise l'élimination de l'urine, stabilise la tension artérielle et la glycémie. Rénalyse rétablit progressivement et restaure complètement le système rénale.   

 

 

https://www.santeremede.com/insuffisance-renale

santeremede@gmail.com

(225) 07428090

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